Mon combat pour le Wifi

La poignée de personnes qui suivent mon blog ont du remarquer que depuis quelques temps il n'y a pas beaucoup de nouveaux billets à se mettre sous la dent. La réponse est très simple. La constitution de mon serveur Peercast prend un peu plus de temps que prévu. J'ai tout d'abord été ralenti par une distribution Linux Ubuntu qui ne voulait pas s'installer. J'ai d'abord cru que c'était la mémoire vive qui était défectueuse, puis le disque dur, puis la nappe... J'ai même pensé à la carte mère mais là ça allait un peu trop loin. J'ai fini par abandonner Ubuntu pour revenir à une bonne Debian. Aucuns problèmes d'installation particulier si ce n'est que je plante systématiquement en bootant le logiciel d'installation sur un noyau 2.6... comme sur la Ubuntu ! Bizarrement aucun problème pour mettre le  noyau 2.6 après.  Et heureusement pour moi, c'est le seul qui supporte vraiment le wifi, ce wifi qui me cause tant de problème. Le but je le rappelle est d'avoir un pc connecté à internet et en réseau avec mon portable mac (je me rends compte qu'il me manque une carte éthernet, une chose de plus à acheter, qui m'aurait aidé pour l'installation qui plus est). Mais ce wifi est dur à installer. La carte que j'ai acheté est compatible Linux, compatible du genre oui mais. J'ai donc pas mal de difficultés à installer les drivers de cette carte. Une fois ce détail passé il faudra configurer l'accès à internet et le réseau avec mon mac. Du plaisir en perspective. Non en fait c'est vraiment casse-couille. Mais ça sera bien confortable je pense d'avoir un serveur séparé et autonome. Je pourrais me concentrer sur la conception des émissions. Et ça je m'y mets en juin dès que j'ai le minimum de matériel vital.

Une chose tout conne encore, les boitiers sont grands maintenant. Tellement grand que les vieilles nappes ide (pour connecter les disques durs à la carte mère sont trop courts) sont trop courtes. Agacant.

Ambiance sonore : O Pastor - Madredeus
Du fado, musique traditionnelle portugaise. Un vrai régal. Un peu de musique dans un billet technique, ça fait du bien.